Au cours de son parcours universitaire, Chloé Frédette, docteure en sciences biologiques, a développé une expertise de recherche en biologie végétale et plus spécifiquement dans le traitement d’eau usée par marais filtrant. Ayant un intérêt marqué pour les phytotechnologies et le développement durable des communautés, elle travaille aujourd'hui chez Québec Vert à accélérer le déploiement des infrastructures végétalisées au Québec, particulièrement au niveau des municipalités.

Ayant suivi un parcours pluridisciplinaire (B. Sc. Agronomie, M.Sc. Agroenvironnement (UniLaSalle) et M.Sc. Sciences de l’Eau (INRS)), Sixtine Hauchard a rejoint l’équipe de Lasalle|NHC en tant qu’ingénieure PRT (permis restrictif temporaire). Passionnée par la gestion de l’eau et les phytotechnologies, elle travaille à intégrer davantage les infrastructures vertes dans nos milieux urbains pour une meilleure gestion intégrée de l’eau.

Actuellement candidat au doctorat en biologie à l’IRBV, Maxime a également travaillé sur un projet lié à la phytoremédiation. Il est également chercheur invité à la Fondation David Suzuki, ou il travaille sur un projet qui vise à évaluer le potentiel de verdissement des terrains vacants potentiellement contaminé à Montréal, pour améliorer le niveau de résilience de la ville face aux changements climatiques. Maxime est aussi cofondateur et administrateur de phytoaction.

Enseignant à l’École des métiers de l’horticulture de Montréal depuis 14 ans, Patrick Emond a fait ses débuts en tant que technicien en horticulture ornementale à l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec. Il a travaillé sur la conception et la réalisation de bandes riveraines depuis 30 ans, ce qui l’a aussi amené avec être consultant sur la santé des lacs et des bandes riveraines et a travaillé à la lutte aux plantes exotiques envahissantes.

Agronome diplômé de l’université Laval, Marc André Laplante, agr., M. Sc., MBA, est détenteur d’une maîtrise en biologie végétale sur la thématique de la recirculation des solutions nutritives en serre. Il détient également un diplôme d’études supérieures en administration des affaires, un MBA en gestion des entreprises et un certificat en comptabilité de l’université de Sherbrooke. Il se joint à l’Institut québécois du développement de l’horticulture ornementale (IQDHO) en 2016 où il occupe le poste de directeur général. Avant de joindre les rangs de l’IQDHO, Marc André a travaillé pendant plusieurs années à titre de chargé de projets R&D et a également assumé différentes fonctions de gestion dont celle de chef de production en serre.

Daniel Boudreau est biologiste de formation avec une maîtrise en environnement axée sur l’écotoxicologie. Il œuvre depuis plus de 30 ans dans le domaine de l’environnement dont les vingt dernières années à Hydro-Québec. Dans sa carrière, il a travaillé notamment sur le développement de marais filtrants afin de traiter des eaux industrielles. Plus récemment, il a collaboré à la mise en place d’un plan d’adaptation en changements climatiques pour Hydro-Québec. Enfin dans les deux dernières années, son travail l’a amené à collaborer au développement de solutions naturelles fondées sur la nature afin compenser les émissions résiduelles de gaz à effet de serre de son entreprise. Au début des années 2000, il a été président du conseil régional de l’environnement de la Capitale Nationale et a siégé sur le CA de la SQP de 2013 à 2019.

Gestionnaire de projets et chargé d’affaires à l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV), il est titulaire d’un doctorat en microbiologie de l’université Paris-Diderot (Paris 7). Au sein de la structure, il est en charge de la gestion opérationnelle et budgétaire de projets utilisant les phytotechnologies avec des partenaires industriels et, également, du financement, des ententes contractuelles, de la diffusion des connaissances et de l’organisation de colloques (par ex. IPC 2017). Il a à cœur de promouvoir les phytotechnologies en tant que vecteur structurant des villes du futur auprès des décideurs municipaux et provinciaux et milite en faveur de la mise en œuvre d’une zone d’innovation montréalaise pour la valorisation industrielle des biomasses végétales. Auparavant, il a œuvré dans le secteur de la recherche fondamentale académique pendant +10 ans en Europe puis dans le secteur privé (biopharmaceutique) pendant 9 ans.

Christian Dufresne est un agronome diplômé de l'Université Laval, membre de l'Ordre des agronomes du Québec, et détenteur d'un diplôme pour l'enseignement de la formation professionnelle de l'Université de Sherbrooke. Fort d'une expérience variée, il a été gestionnaire des parcs et espaces verts pendant 6 ans, juge au concours Villes et Villages Fleuris pendant 15 ans, et a créé le prix de l'Ordre des agronomes du Québec récompensant les municipalités qui aménageaient les lieux dégradés. Il est consultant, animateur de l'émission "Horti et culture" et chroniqueur sur différentes plateformes médiatiques.
Il est également partenaire et conseiller auprès de la FIHOQ (maintenant Québec Vert) et des Fleurons du Québec en plus de son rôle de classificateur. Conférencier pour l'ADMQ, l'ARMVQ , AQLP et diverses associations, ainsi que membre de Plante et Cité de France. En outre, Christian a créé un programme de formation continue en horticulture urbaine et un DEP Plus en horticulture urbaine pour le Centre de Formation horticole de Laval, incluant une initiation à la gestion différenciée et aux éléments de biotechnologie.

Depuis le début de sa carrière en 1987, Bruno Chabot a eu de nombreux rôles dans le domaine de l’horticulture, notamment en aménagement paysager à son compte et en vente de produits horticoles pour Foliera et Marché Floral. Actuellement, il est conseiller technique en horticulture chez Gloco, enseignant à temps partiel au Centre de formation horticole de Laval, ainsi que conférencier et formateur en horticulture, fertilisation biologique, vie des sols et biodiversité par pré-fleuri.

Trouver des solutions est le défi préféré que Marie De Bulle aime relever. Comme paysagiste, elle conseille et aménage des îlots de verdure unissant biodiversité, fonctionnalité et entretien minimal. Les végétaux sont ses outils favoris pour aider les gens à s’amuser, s’éduquer et améliorer leur environnement. Multidisciplinaire, elle allie études techniques et universitaires en horticulture, littérature et gestion pour diffuser les connaissances horticoles et rivaliser d’imagination en trouvant des solutions aux problématiques environnementales.

Suivant l’obtention d’un baccalauréat dans un programme transdisciplinaire incluant la chimie analytique, les sciences environnementales et l’écologie en 2021, Laurianne Bédard obtient un diplôme de maîtrise en sciences biologiques en 2023. Cette recherche portait sur le potentiel phytoépurateur des marais filtrants face au triclosan, prônant l’utilisation d’espèces végétales indigènes du Canada. Présentement au doctorat en sciences biologiques de l’Université de Montréal, elle travaille aujourd’hui sur le potentiel des marais filtrants pour traiter les polluants d’origine humaine, incluant les risques liés à la transmission de résistance microbienne.

Biologiste et passionné par les végétaux, Olivier s’est spécialisé en phytotechnologie avec une maîtrise environnement et développement durable, lors de laquelle il a étudié un système de marais filtrant traitant les polluants des eaux de ruissellement agricole. Curieux et dynamique, il accroît ses connaissances en phytotechnologies au travers de son parcours à la SQP où il veille au bon déroulement des activités et au développement des relations de l’organisme avec ses partenaires.

Rayonnante et énergique, Cynthia a accumulé un grand éventail de connaissances au travers de son parcours multidisciplinaire qui l’a amenée vers un baccalauréat en psychologie, une certification en zoothérapie et une maîtrise en gestion de projet à l’UQAM où elle s’est spécialisée sur les facteurs d’acceptabilité sociale des projets.
C’est sa passion pour le développement durable, les constructions écologiques et tout ce qui touche à l’environnement de près ou de loin qui l’a amené à vouloir s’investir à la SQP.